Le nouveau maillot de lens
La Coupe de France a été remportée cinq fois par le club. L’arbitre n’hésite et brandit directement le carton rouge alors que le défenseur avait déjà été averti (64e). À dix contre onze, les Dijonnais finissent par céder sous les coups de boutoir lensois. En 2009, l’Olympique lyonnais opte à nouveau pour un maillot à bandes horizontales, mais de manière inversée par rapport aux années 1960 puisque la bande rouge est sur la partie supérieure. Article détaillé : Bilan saison par saison de l’Olympique lyonnais. Pour la saison 2015-2016, l’OL reprend la bande bleu horizontale le long de la poitrine, mais sans la bande rouge. 1976 et 1978 puis ce rouge est complété de plusieurs bandes verticales bleues les deux saisons suivantes. Après 1976, un changement radical est opéré sur la tunique du club lyonnais. Le maillot extérieur présente pour principaux changements une dominante blanche avec le changement des bandes fines de couleur ciel en couleur bleu roi ainsi que le remplacement de la représentation du stade de la Meinau par les armoiries de la ville de Strasbourg à l’arrière du maillot. », c’est-à-dire un blason dont la partie inférieure est de couleur rouge et recouverte d’un lion avec une partie supérieure de couleur bleue et recouverte de trois fleurs de lys.
Celui de l’Olympique lyonnais conserve la même caractéristique inférieure mais en remplaçant les lys par la mention OL dans la partie supérieure. L’Olympique lyonnais est durant la plus grande partie de son histoire un club de milieu de tableau, sans performance exceptionnelle, jusqu’aux années 2000, où sa domination du football français lui permet de s’attaquer à nombre de records. Il est conservé pendant les dix premières années d’existence avant d’être remplacé après les années 1960. À partir de 1970, le blason devient plus complexe avec une succession de bandes blanche, bleue et blanche sur le flanc droit ; le reste est de couleur rouge avec pour motif un ballon de football surmonté du lion caractéristique de la ville de Lyon. Les cinq années suivantes proposent des maillots plus bariolés avec couleur dominante blanche. Celui-ci apparaît sur les maillots en 1989 et ne représente plus les blasons d’origine. Son graphisme est plus dynamique et moderne. Ce dernier est agrandi pour la réception des Jeux olympiques de Paris de 1924 et devient alors le plus grand stade français et francilien.
