Maillot lens extérieur
Par sentimentalisme et superstition, les supporters s’attachent aux rayures du maillot, auxquelles le club reste depuis globalement fidèle. En effet, les grosses rayures rouges et bleus sont ici remplacées par une tenue plus classique, arborant un bleu roi et de fines rayures rouges. En 1991-1992, le Stade Malherbe Caen, équipé par Puma, retrouve son maillot d’origine, à rayures verticales bleues et rouges. L’Union Athlétique du Lycée Malherbe (UALM) portait un maillot composé de rayures verticales noires et blanches, tandis que le Club sportif caennais (CSC) utilisait des rayures horizontales bleues et rouges. Lors de la saison 2008-2009, alors que les dirigeants disent viser une place dans la première partie de tableau de Ligue 1, l’équipementier Nike remplace les traditionnelles rayures verticales par un maillot coupé verticalement en deux. Au gré des saisons, le club reste fidèle au bleu et au rouge, même si les motifs du maillot changent (rayures horizontales lors des premières années professionnelles, scapulaire, barre oblique, parements, etc.).
Le 23 février 2020, le PSG arbore un maillot avec l’inscription « Stay Strong China ! En 2000-2001, le nouvel équipementier Le Coq sportif propose un maillot bleu marine, sans rayure. Yohan Eudeline et Pascal Dupraz conservent leurs postes de directeur sportif et d’entraîneur. Pascal Dupraz est démis de ses fonctions après que le club fut passé de la 7e place au soir de la 17e journée à la 14e place après trente journées, à 5 points de la 18e place. À la suite de cette saison catastrophique, les dirigeants lancent le projet « année zéro », dont l’objectif est de faire table rase du passé et de permettre au club de retrouver l’élite aussi vite que possible. 24 avril 2011 et le 13 août 2011. En 2013-2014, les Caennais, en grande difficulté en Ligue 2 pour l’objectif de la montée en Ligue 1, vont alors enchainer une impressionnante série de 12 matchs sans défaite pour 8 victoires et 4 matchs nuls. Après un début de saison hésitant, l’équipe réalise une seconde moitié de saison plus convaincante, grâce notamment au passage en 3-5-2 ainsi qu’aux performances remarquées de certains joueurs, comme Jessy Deminguet, Alexandre Mendy, Nuno Da Costa, Ali Abdi et le jeune Johann Lepenant.
Grâce à cette série, le SMC termine finalement troisième alors que l’équipe était engluée en milieu de tableau. Grâce à cette solide croissance qui repose essentiellement sur une hausse importante des droits télé, les clubs français ont pu sortir de la crise financière quasi permanente depuis les débuts du championnat. En Suisse, les hommes de Guy Roux obtiennent grâce à Monterrubio le match nul (1-1). À Bollaert, on assiste à un festival offensif, avec 5 buts lensois à la clef. Bien qu’officiellement inauguré en 1925, le terrain de Venoix accueille des matchs de football dès 1912. À la création du club en 1913, il en devient le terrain d’entraînement et de match. À l’issue la première Guerre mondiale, le club obtient la jouissance exclusive des installations, dont la mairie de Caen fait l’acquisition en 1933. En 1925, une piste de 400 mètres est ajoutée afin d’en faire un stade vélodrome. Le club dispose enfin de quatre terrains annexes, dont un terrain synthétique, afin de permettre l’entraînement du groupe professionnel, de la réserve et des jeunes du centre de formation. Zakarya Bergdich, arrivé le dernier en provenance d’Alfortville, est le plus ancien du groupe, tandis que Dylan Deligny, de quatre ans son cadet, est le plus jeune.
Avec des moyens limités, les joueurs de Mantes sont relégués en Division 3 à l’issue de la saison 1975. Le club va y évoluer pendant quatre ans. Zan cède sa place en 1977 à Kindy Chaussettes et ce pendant neuf ans. Le 25 février, malgré sa première place en phase de poule de Ligue des champions, le Monaco de Kondogbia se déplace à Arsenal, grand habitué de la compétition. À la fin des années 1980, les Caennais font de « Venoix » une place forte : entre 1986 et 1988, ils y obtiennent 29 victoires en 34 matchs de deuxième division ; entre 1989 et 1992, 38 victoires en 57 matchs de première division. La plus longue série de victoires consécutives en championnat se monte à huit rencontres, entre le 22 mars 2002 et le 10 août 2002, en deuxième division. Cinq mois plus tard, le 16 septembre 2016, le Paris SG gagnera de nouveau 6-0 cette fois au stade d’Ornano. La plus large victoire enregistrée par le Stade Malherbe date du 23 août 1997 quand les Caennais gagnent 6-0 à domicile face à l’ES Wasquehal, en deuxième division.